Simon

C'est dans le train vers Sion que je prends enfin le temps d'interwiever Simon: un des vingt participants à l'académie d'été de la Fondation Suisse d'études, Le Tableau de la Suisse. Ça fait déjà quelques jours que je l'observe: un jeune étudiant, sérieux, précis qui fait des remarques très pertinentes pendant les discussions. Mais qui est Simon? De quelle partie de la Suisse vient-il? Et pourquoi a-t-il choisi de participer à cette expérience particulière? Comment a-t-il vécu les jours qui viennent de s'écouler?
Simon est avant tout un jeune étudiant de 19 ans originaire du canton de Schwyz et plus précisement de Pfäffikon - le village de l'Alpamare, pour faire simple-, me dit-il en souriant. Il étudie à Fribourg la médécine humaine mais il ne sait pas encore dans quelle ville de Suisse il pousuivra ses études après sa deuxième année. Il me dit aussi que, pour l'instant, il ne sait pas quelle spécialisation entamer, ce qui est tout à fait compréhensible. Sa passion est pourtant très forte et il est enthousiaste quant aux différentes possibilités futures que lui sont offertes par ses études.
Un étudiant très déterminé donc, mais pas seulement. Simon est aussi passionné par différents sports: le “Biking” et le “Unihockey”. Le temps libre que Simon ne consacre pas au sport est destiné à la musique. Il étudie le violon depuis l'âge de cinq ans et joue aujourd'hui dans une formation de musique popoulaire en démontrant une grande passion pour les traditions de son pays. Occasionnellement il chante aussi dans un choeur.
Il me dit avoir été toujours intéressé par la Fondation et lorsqu'il a reçu le dossier informatif pour déposer sa candidature, il n'a pas hésité à faire le nécessaire pour être admis. La motivation pour participer à cette académie d'été dérive principalement de son amour pour son pays et pour sa curiosité envers la diversité des paysages qu'on peut trouver en Suisse. Cela peut se voir déjà dans son canton. Par rapport aux activités jusqu'à maintenant, Simon est très satisfait et il a trouvé fantastique l'opportunité de parler à des politiciens et d'entrer en contact avec des oeuvres artistiques (par exemple le parc de Not Vital ) ou avec des artistes directement (comme dans le cas de Giovanni Netzer).

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